Les jardins, le parfait endroit.

Toujours personne au château, complétement désert.
Et les jardins, parfait endroit pour se reposer, l'air frais et son paysage.
J'arriva dans la foule, entre les feuilles qui volaient et les arbres, malheureusement immobile, il n'y avait évidement aucune bousculade...
Je me laissa tombé, assise à terre, et regardant le paysage tout aussi désert que ma position devant moi.
Rien à faire, juste admirer la vue.

" L'ennui, y va finir par y'avoir que ça qui va régner ici..."

Je tourna la tête et pu apercevoir que l'arbre avait perdu chacunes de ses feuilles et en y regardant de plus près j'aperçut ce cher, Arkhams.

" Tiens, Arkhams, quel, bon vent, ou plutôt, bonne tornade, t'amméne ?"

Je me releva et fis cesser cette tornade en claquant des doigts.

Encore une fois je t'ennui. Tout le monde est parti mais tu es là ... Tu pourras me distraire pendant mes longues soirées d'automne.

Je sauta de l'arbre qui était désormais mort. Le temps que Shanks s'en aperçoive, les feuilles seront revenues ... Je sortis mon katana et le planta dans l'herbe et m'y accouda. Je sortis un shuriken et le jetta prés de lady. Celle-ci regarda sa trajectoire, l'étoile noire trancha quelque chose et alla se loger dans un arbre, mort. Le shuriken avait tranché une petit fleur de couleur violette et cette plante d'une beauté magnifique alla se poser sur l'épaule de Lady.

Tiens, cadeau.

Je me retourna et regarda attentivement l'arbre que je venais d'assasiner.

Je pris la fleur dans ma main droite et sentis son parfum puis je la fourra dans l'ouverture de mon haut la laissant dépassée puis je me retourna vers Arkhams.

" Merci, Arkhams...
J'suis pas vraiment aimante des fleurs mais ça fait toujours plaisir. Enfin..."

Je regarda l'arbre et posa mes mains sur celui-ci.
Une lueur rouge apparu et fis repousser chaques feuilles.

" Voilà, comme ça, c'est pratiquement sur que Shanks ne verra rien."

Je le préférais avant moi.

Avec la mine des mauvais je lança un couteau dans l'arbre et une pomme me tomba dans les mains. Je la gouta avec un geste lent et fatigué.

T'as pas fait de bonnes pommes en plus, à supposer que se soit des fruits.

Je me retourna et la fleur que j'avais donné à Lady avait disparu, je la tenais dans main et l'admirais.

Je baissa la tête, en effet, la fleur n'était plus là, je regarda alors Arkhams surprise.

" J'éspère que t'a utiliser ta magie pour la faire venir dans tes mains et pas que tu la prise par toi même grace à ta rapidité..."

Je décrocha moi une pomme et effectivement, elle ne fut pas vraiment mangeable.
Je la laissa tombé et avança.

Certains disent que j'ai la rapidité d'une éclair qui pourfend le ciel. Alors oui effectivement, j'ai pas usé de ma magie.

Je me retourna et sauta dans l'arbre. Le fleur était revenu à son endroit initial.

T'es sur que ce sont des pommes ?!

" Maintenant que tu le dis...Je crois que j'me suis trompé.
Mais, qu'est-ce que tu vas faire la haut ?"

Je m'approcha de l'arbre et leva la tête pour apercevoir Arkhams assis dans l'arbre.

Je me mordis le pouce de manière à saigner. Je colla mon doigt contre le bois de l'arbre et prononça des mots incompréhensibles. L'arbre se refroidi soudain, les feuilles devinrent jaunes, rouges, brunes et enfin elle tombèrent les unes aprés les autres, laissant l'arbre nu.

C'est mieux ainsi.

Je sauta dans un parterre de fleurs au loin, que Shanks avait soigneusement plantées. Je m'y allongea en mordillant une tulipe de couleur rouge. Une guèpe s'approcha soudain du décolté fleurie de Lady. Je lança un couteau vers l'insecte pervers qui fut emporté par l'arme et écrasé entre le couteau et le mur.

Pas touche sale monstre.

" Pauvre bestiole..."

Je m'avança vers le mur et détacha le couteau. Je lança celui-ci près de la tête d'Arkhams et il se planta dans la terre.

" Quand tu dis, pas touche, qu'est-ce que cette bête, ne devait pas toucher ?"

Je le regardais d'un air, sarcastique et dans l'entaille du mur fait par le couteau je déposa la fleur que m'avait donné Arkhams.

Arf. Cette sale bète ne devait pas toucher cette " fleur " . La gourmandise est un vilain défaut.

Je baissa la tête, j'étais à présent invisible derrière ce champs de fleurs. Des oiseaux revinrent se poser sur les arbres mort du jardin. Un magnifique contraste entre la vie et la mort.

Tu aimes les fleurs ?

J'avança et m'acouda à un arbre faisant s'envoler les oiseaux.

" Qui ça ? Moi ? Et bien...
Une en particulier, mais celà n'a pas vraiment d'importance.
Pourquoi cette question ?"

J'attrapa une branche puis sauta et enfin atteris assise dans l'arbre.

Qui t'as dit que je parlais à toi ?

Je me releva, j'étais toujours assis et je regardais Lady avec un grand sourire.

Je parlais à lui.

Je montra un petit papillon aux ailes d'une blancheur éclatantes ayant les pattes pleines de polène. Je regardais l'animal d'un air joyeux, il avait l'air trés gourmand.

En effet, il aime les fleurs.

Je leva le bras et le papillon vola vers Lady. D'un air choqué je me releva un couteau à la main prés à l'envoyer. Une nouvelle victime de la gourmandise peut etre...

Je tendis la main devant moi et ce "merveilleu" papillon se posa dedans.
Je la referma et la réouvris aussitôt, le papillon avait disparu. L'autre main fermée je l'ouvris et il en sortit puis se posa sur mon épaule.
Je claqua des doigt et il s'enflama.

" Tentation trop forte...
J'éspère que tu t'y étais pas attaché."

Quelle cruauté ... Tu as besoin d'une leçon.

J'ouvris grands les yeux et Lady me regardais. Des ailes blanches magnifiques sortirent de son dos. Le jardin autours d'elle grandit, les fleurs triplèrent de volumes ainsi que les arbres. Lady vola vers une gigantesque masse. Elle vit que c'était elle-même. Elle se posa dans le creux de son immense main. La 2ème Lady géante ferma le poing. Lady en forme de papillon revue la lumière du jour dans la mains gauche, puis elle se posa sur l'épaule de son alter égaux gigantesque. Puis Lady pris feux, la sensation de brulure extrème traversa son corps. Dans un hurlement inaudible elle mouru dans d'atroces souffrances ...

Tu vois se que ça fait maintenant.

Je ferma les yeux et l'illusion se rompu. Lady revint dans notre monde.

" Je crois que tu n'as rien à dire étant donné que tu compatis aussi le tuer."

Je sauta de l'arbre et atteris juste devant Arkhams.

" La mort ne me fait pas vraiment peur, la douleur, c'est rien."

Je me demande qui tu es. Ou plutot qu'est-ce que tu es ...

Je me laissa tomber de nouveau dans le fleuve de fleurs dans un éclaboussement de plantes. Je repris une tulipe en guise de cigarette et commença à marmoner, les yeux rivaient vers les cieux.

Etre insensible a mon charme ... C'est insensait.

" Ton charme..."

Je m'avança et m'asseaya à côté de celui-ci.

" Le charme, on le voit pas de la même façon. Moi...J'suis pas une grande sensible."

Je serra le point et l'ouvris puis la fleur qu'Arkhams m'avait oferte revint dans ma main.

" De toute manière, pour charmer, il faut utiliser quelque chose que la personne aime, un truc du genre..."

Donc logiquement, on ne doit rien utiliser pour charmer une femme qui n'aime rien ...

Aprés avoir énnoncé cette théorie, je tourna le dos à Lady.

Curieuse façon de raisonner ... Je déteste ces fleurs.

Je sortis une dague et coupa les fleurs qui été devant moi.

Aimes - tu quelque chose ?

" Cette fois-ci me parles-tu à moi ou..., à un papillon ?
J'estime que c'est à moi..."

Je me leva et partis, bras croisé en avant.

" Et bien...On pourrai croire que je n'aime pas grand chose mais, en réalité, pas mal de chose me font plaisir, suffis de trouver lesquelles."

Et bien entendu, tu ne les devoileras à personne.

D'un mouvement las et mécanique je me releva. Je marcha sur un bois mort, qui été caché par des fleurs bleues. Je le ramassa et avec mon couteau j'en fit un magnifique boomrang rustique. Une nouvelle arme dans ma panoplie de guerrier sans doute ... Elle n'aime rien ... Ou elle ne veut pas qu'on sache se qu'elle aime, pour cacher ses sentiments ainsi que ses faiblesses. La femme est si prévisible, mais si dure à attraper. Je suis tel un papillon attisé par la gourmandise, je me précipite délicatement vers ces déesses sucrées comme le polène. Je fixa une ficelle presque invisible sur le bout du boomrang. Je le lança vers Lady, l'objet pourfendait l'air d'une merveilleuse façon. Lorsqu'il arriva au niveau de Lady, le boomrang la contourna. N'était il pas attiré par cette magnifique fleur ? ... L'objet revint en ma direction et se précipita dans ma main. Je saisissa la ficelle et tira dessus. Lady fut immédiatement attiré et elle s'arréta à quelques millimètres de moi.

...

Attirée inévitablement et assez rapidement je n'eu pas le temps de réaliser ce qui m'arriver.

" Bien entendu, tu as tout à fait compris..."

Je chercha la ficelle mais sans suxé, aucun moyen de l'apercevoir, beaucoup trop fine.
Je pris alors un coutêau, me tranchant de haut en bas et finis par me détaché, évidement, pas sans douleur.
Les deux bouts de fils dans la main je la serra et ceux-ci s'enflamèrent comme de la dynamite qu'on allume pour faire exploser quelque chose, quelqun, et finis par arriver vers les mains d'Arkhams. Ceului-ci regardais le feu avancer doucement vers lui mais ne s'attendais surement pas à ce que je l'arrête.
Pourtant je le fis sans regret en coupant avec mon couteau le bout de la ficelle qui tomba éteinte au sol puis je m'éloigna ensanglantée.

" Et même toi, tu serai incapable de les trouvées."

J'aime les femmes mystèrieuses.

Dans un sourire je regardais les pieds de Lady, de somptueuses bottes en cuire ... Botte en cuire ?! Pourquoi ne pas avoir fait de même avec le reste de ses vêtements ... Soudain une magnifique abeille, les pattes engluaient d'un liquide jaune durcit au Soleil vola vers moi. Elle aussi est friande de bonnes choses. Aprés cette pensé je souris de plus belle, je m'interesse à un vulgaire insecte ... Je me posais tout un tas de questions, va-t-elle me piquer ? Pourquoi ? Suis-je appétissant ? Suis-je assez éffrayant pour que l'abeille me pique ?
Je regardais tendrement son vol, j'en avais presque oublié Lady ...

Je bessa la tête, voilà qu'une simple abeille émerveillée Arkhams...
En attendant, j'étais au moin, disons... "tranquille".
Je fis un demi-tour sur moi même et de l'autre côtè avança
et murmura.

" S'il est si joyeu à chaque fois qu'il croise un insecte, on est pas sorit d'l'auberge..."

Juste pour sa réaction, l'abeille connaîtrai le même sort que le papillon précédent.
Je la brula en claquant des doigts devant les yeux d'Arkhams et pourtant dos à lui un peu plus loin.
Je continua d'avancer et croisa les bras.
La silouhette du château dans la brume qui se trouvait devant moi me donnais envi d'y retourner en laissant Arkhams avec ses bestioles.